Equivoque

 

La fuite de Schubert

La preuve joyeuse de F. Lear

La lettre à l’église de Beethoven

Le riz collait tôt de Verdi

Le car mène de Bizet

L’atroce cas de Puccini

Laval qui rit de Wagner

L’heureux qui aime de Mozart

L’arabe se dit de piste

Le beau aime de Puccini

Le clerc de l’une de Beethoven

Le bellâtre à vie hâta de Verdi

Manon l’escroc de Massenet

La méditation de tas, hisse de Manet

La trêve d’amour de Liszt

La dame au camée plia

La vache turque de Mozart

La nymphe honnie du niveau gronde

Le père y colle d’Offenbach

L’amère de Debussy

La Callas et le pavé rôti

Le docteur J’y vais, go

Les sept pèrcenaires

Les révoltés d’emboutis

Les disparus de Sainte argile

Le petit pince

Les deux naphtalines

Les hauts du mur levant

Les trois masques à terre

L »art c’est nique ces vieilles pucelles

Douze hommes en fol air

Le fantôme de l’eau paiera

Le docteur j’ai quilles et Mister Ail

Le dernier des mots tiquant

Blanche Neige et les sept mains

L’abbé gère à prix croisés

La colline de l’odieux

Les derniers jours du pont vieilli

Le tracteur sonne toujours deux fois

Notre femme de Paris

A l’est d’ébène

Frank est-ce teigne ?

L’été meurt trié

Cruel au soleil

La ringarde

Le diable au cor

Cinéma part à dix zoo

Autant en emporte l’évent

La fille du puis d’ acier

Jean de Lorette

Le grand lardon

Le docteur chouette, erre

L’étang moderne

Le pont de la rivière Gouaille

Les mises d’érable

La porteuse de pin

Emma,nue, elle

Les voyages de Gull, l’hiver

Le colonel chat vert

Le chien des gangsters vils

L’ove scorie

Un américain atterrit

Nourrir des mets

Voyage sans cesse poire

La vie d’avant soi

Plantons sous la pluie

La romance de maris

Foin des guitares

L’aube scorie

La tenture c’est la tenture

Le trou vert

L’opéra de cinq sous

Le compte de mon thé crie stop

Les rois nagent

Blanche- neige et les sept mains

Ton cas mis haut

Les lettres de mon poulain

Le prisonnier descendra

Pisse tant et prise

Ca lambeaux

Robe en son mausolée

L’affaire très puce

Mon gars dine

Une nuit sur le mot mauve

L’arabe se dit hongroise

Le gay part

La fuite en est gypse

La jolie de candeurs

Le facteur trône toujours deux fois

Les oies zoo

Madame mine l’hiver

Les enfants d’une part à dix

La vallée des néants

Sur les zèles de la panse

Dieu créa l’infâme

Le retour du Perrier

La guerre de trois

Sansonnet des lilas

N’a bu qu’a dos au sort

Le chevalet à la prose

Mickey est minime

Un sexy pour le souk

Les chaussons bougent

Tant qu’il y aura des homes

La route de ma pie sonne

Les dix comme en dedans

Vingt mille dieux sous les terres

Le titre panique

La femme de l’oranger

Léonard devint scie

Le rat d’eau de la mère Duse

Les folles y bercèrent

Le petit pape rond bouge

La guêpière et le pote ollé

Simbad le parrain

Les tétés de l’espadon

Les rois nagent

Le vieux fut scie

Les pansés de Pascal

Le laboureur et ses cent fans

La bourse ou l’avis ?

Le malade image inerte

Le cidre de Corneille

Les trois coriaces

Le beau varie de Flaubert

L’île aux treize ors

La fontaine de mes délices

Laver Maria sans ôter l’eau

Les seins valides

La glisse au pays des mères vieilles

La guerre des moutons

La femme et le pan teint

Pente à truelle

Le fantôme de l’eau paiera

Cinéma part à dix eaux

Car on a beau marcher

La belle au bois armant

Le prince des huées

Le formeur Duval

L’algue atroce de Baudelaire

Madame abreuve Harry

Les mis au rab d’Hugo

La méthode des cartes

Le loup et la gnole

Mon curé chez les biches

La ferme et le pantin

Les bassines du ciel

Le bois de vingt scènes

La tour est faible

L’étui, le riz

Faire trop cas des rots

La rue cinq honorés

Les chants alizés

Le champ de masse

Elle, sa grille au lait

Jean-Paul Tarte

Louis j’ouvrais

Tino rassis

Ginette l’éclair

Pierre Maudit

Louis à ras gonds

Line au vent dura

Marie bèle

Le mûr ail de Chine

Romain garni

Sacha guide, rit

Alphonse dardé

Martine abri

Laurel est hardi

Le lièvre et la tordue

Jacques du péril

Louis Salaud

Le jour git

Songe dune nuit fêtée

La nuit du casseur

La grenade de Schubert

L’adieu aux charmes

Lorsque l’enfant barrait

Le chat pèle au clair de lune

Le tango morse

La valse des pleurs

Alfred aux belles

Guy Marchant

Guy de mots passant

Charles baillait

Claude rince

L’eau rance d’Arabie

Samson et Dalida

Jules périt

Jules ringard

Louis de jeunesse

Maurice chèvre alliée

Michel le gland

Louis sale où ?

La vierge tarie

Le bol héros de gravelle

La com part si tard

Les oraisons perdues

Fanfan la tunique

Merlin l’échangeur

Le panard à l’orange

Les pieds, nique-les !

Ainsi vecut Sarah sous ce drap

Le coiffeur rase Poutine

L’amant de l’édit chatre-les

Que c’est triste Denise

 

 

Paul, des roux l’aident

La belle au terreau

Paul m’ hérisse

Jean Paul pèle mon dos

Madame du pari

La belle et l’arrête

Lac au drame

Les lions sont bachés

Le tigre du pin râle

Vingt ans sous les terres

L’hymne a les foies

Le bois debout, lorgne

Le moyen nage

La statue de la puberté

J’aime le sang du cor

Le corbeau et le ringard

Jim la roulette

L’homme en visible

Le bois de vingt scènes

Le palais de l’alizée

Le père poêle

Raisins valides

Jolies bergères

Le moulin bougecath

Colline Carton

La putain si vertueuse

Bonjour business

La revanche des oraux

Vive Anne Romance

Tarzan et sa campagne

L’abée Résina

Le bouge et le loir

L’amas de long

La ronde des pleurs

Le rivage des mites

Robert t’es lord ?

Catherine deux neuves

Le « France » n’est pas que beau

Sur la route de midi sonne

Georges gai tari

Charles traînait

Pierre freinait

Pic à seaux

Pourquoi viens-tu cythare

Sidney béchait

Halte ! dix nez

Léon grand bêta

Bonne à Sparte

Lisette l’an vingt

Cadet ruisselle

Les pets de la dame au cleps

Des seins à miner

Barbe à ras

Richard périt

Léo ferait

L’as qu‘elle a de Mille ans

Chante pavé roti

Sein trop pèse

Baron de beau marché

La mare c’esr dièse

Miss Guinguette

Le roi drague cerf

Il est minuit Docteur chouette cerf

Les arts et mes pieds

L’épine dort sale

Le cerveau lent

L’or en goûtant

L’apprenti sort scié

Jules Renard avait-il un poil à sa carotte ?

Les racines du fiel

Le roi débile et le rat des chants

Le chat beauté

Michèle mord quand ?

Sire, Ah ! nos deux berges craquent

Les lettres de mon poulain

Les derniers jours de mon pays

Roule ta fille

Mets l’usine

Arsène lopin

Les feuilles fortes

Lady a mille tonnes

Le bal des colleurs

Le gay part, Eve reste

Saint Thomas taquin

Jean Jacques Trousseau

Ali Baba et les quarante rodeurs

Le lapin de marraine

Paris scie la sortie

La petite lutte

Une nuit sur le mont sauve

L’avis en prose

Le moulin de la cueillette

L’enfer c’est les hôtes

Le beau héros de Javel

La gare de lest

La muraille d’échine

L’amie chaudière

La porteuse de pin

Roland et son corps

La clé de saule

Le bateau livre

Une raison en enfer

Le mièvre et la tordue

L’amarre au diable

G.Sand se trémusset

Alphonse de Latartine

Les croûtons de Panurge

La mygale et la fourmi

Le water guette

La laitière et le potrau laid

Les quatre files du Dr Lâche

Les 24 heures du gland

Anne d’Islande

L’opéra de 4 saouls

Singapour et cinq gars contre

L’amande à lyre

La jolie des grandeurs

Si l’icône valait

Les plaies d’heure

L’île aux 13 ors

Le carnaval des pieux

La souris fière

Marie l’a foré

Danse avec les clous

Marat, le 1er de cordée

L’odyssée du Dr vaisselle

Le sein es saints

Le petit poussait

Les bêtes galantes

Charlie chat plein

Le dit tracteur

L’attentat du Petit canard

La ronde des beurres

Pour Dante, Ali guéri

A bout de soufre

L’avis en prose

Des souris et des homes

La Vénus de mille eaux

Le festival de cannes

Tous en Seine !

Affreux, dites !

Roseau est arrivé

Fanfan la tunique

Le rat du disert

Le petit chaperon bouge

Le loup et la gnôle

Salvador d’Ali

Le congrès s’abuse

Corps et ânes

La dernière chasse

Saisi de l’air

Le loup gare où ?

Les verges de la Seine

La folle de chariot

La nymphe au cœur ficelle

Le roi dix

Les mystères de maris

La salade des pendus

Saint tome A

La soupe aux laids

Cloche-perle

Orphéo nez gros

Le sale air de la peur

Chatte aux brillants

François mythe errant

Sarkosy fan tutti

L’abée des anges

La promenade des cinglés

A mis le car

Le carnaval de bio

Les gens de nos gars d’or

La fontaine de midi six

Le pire ami du Louvre

Le roi des beiges

Antony couine

Raquel met l’air

Y a d’ la foi

Renée, seins cire

François père y est

Henri salve d’or

Les vieux d’Elsa

Figue à rots

Gaffeur pour dames

La bouteille à l’encre

La bande à bonne eau

Les thés indiens

Le choc au la

Bertin l’aime chaud

La nuit du passeur

Samson du souvenir

La bande erra

Le troisième home

Shell a

Barbe à ras

La bête aux veines

Blaise sans draps

Charles l’ogre tend

L’innovant tuera

Plus tard que…

Si c’est rond

Fred à s’taire

Ginger rejet

Vacances domaines

Le masque et l’enclume

George scande

Les clous du roi

Elle monte et s’pend

Les maux croisés

Ascenseur pour les chats faux

Jean, sablons !

Jean gênait

Jacques frêle

Gilbert bec haut

Jean tocquart

Bernadette soupirant

Louis saignait

Sidney léchait

Riche art en tenue

Françoise pardi !

Rat, mine à gros vice

Le roi drague au vert

Le choix des maux

Les mises au râble

Star magnat

Sein trop pèse

Le chantier des baches

L’accord Ida

Sophie des marais

Le gros est lent

En paire

Lu qui nie

Un roumi viendra ce soir

L’arabie c’est où, dites ?

La valse a mis l’temps

Le tango morse

Mords sa lino

Les courses à long chant

La messe en scie bémol

Staline gratte

Le maquis de stade

J’agrippe l’espagnol

Il ne faut pas briser la crève

Viens à la raison !

Gary Coupeur

Nelson est dit

Shirley n’a que l’aine

Madame sans gènes

Pauline, partons !

Simone Régnant

Ginette l’éclair

Le saut de lange

Le pont dit: « chéri »

Simone veille !

Adolphe ment, joue

Grégory bec

L’ ouie de finesse

Charles ployait

Isabelle a déjà nid

Catherine l’angée

Louis vêle

Micheline frêle

Yves bon temps

Simone s’gnorait

Gaby mords-les

Daniel au seuil

Georges l’archer

Nathalie boude

Masse trop Annie

Michel pique au lit

Romy enchaînée d’air

Sophie morceau

Pierre Traceur

Sous l’âge

Philippe à qui ?

Pierre sa bague

Fernand l’agé

Julien clair

Brigite barbeau

James tiroir

Jean gobe hein ?

Liliane l’an vingt

Cathérina va lente

Julien craque

Aga même nom

Brigite faussée

Marcel bagnole

L’époque à Liszt

James maçon

Ginette ne veut

Marcel serre-dents

Madame Ascar

Mets au pot ta mie

Nez rond

Philippe clé

L’amusé du Louvre

La prise de la pastille

Six hérons

Le mime osa

L’amarre guérite

François aux Landes

L’o de Cologne

Fait sale d’Arabie

Le bol y vit

On la sort bonne

La raie publique

Les amants de vérole

Le crime était presque pas fait

Les pires aînés

Le mont se nie

La peau lisse montait

La place saint supplice

Les champs balisés

Le théâtre en tics

Perd ses polices

Le fils d’Ariane

La verge et l’enfant

Les foies du Capitole

Cabri c’est fini

Le porc salue

Digne est Furax

La messe ainsi mineure

Le col hissé

Les accord de Vian

Il peut dans ma chambre

Omar shériff

Le malade image inerte

Paquebot est-ce cargo ?

L’avent tuera

Jean croque tôt

Les zélés fans

La crotte d’Ivoire

Les mille Zola

Emile verra Hélène

Le comte à rebours

Matah a ri

Montre tes cristaux

Pôle vers l’aine

Viviane lègue

L’émir duc honnête

Sire accuse

Une vis sans faim

Mon thé vu de haut

La fripe du sud

L’écho peint d’abord

Je vous salue mari

La pluie et le beau teint

Les comptes du lundi

L’abeille et son hectare

La colle est finie

Danièle de l’homme

Le signe noir

L’OTAN des cerises

La graisse antique

La miss sourit

Le col au radeau

Que c’est bistre Venise

Alfred nos belles

Les miss frites

Le bois de vingt scènes

Water l’eau

Sans salve d’or

Colin braillard

Les croix de peu

Alfred court tôt

Allo, Gênes ?

Les putes Chaumont

Les comptes d’Hoffmann

Mes dix stations de Thaïs

La mare c’est dièse

L’esplanade des huns valides

Le mont par nasse

Naples au baiser de peu

Le bois debout lorgne

Frais des riches chauds pains

La baie prévaut

La clé de saule

Les blés du royaume

Elsa trie au lait

L’esprit des bois

Le cheval de trois

Je interdit

La raie publique

Pigeon viole

A Tokyo les chiens vous jappent au nez

Lorsque l’enfant barrait

Il n’y a plus d’gabonnais

Elsa copine

Trois beurres du matin

La bâche et le prisonnier

Aurore du pain

Gaston la baffe

Etre ou ne pas mettre

L’essaim des saints

Le fer de Lens

L’arbre allaite

La divine comme Eddy

Sans Rémo

Riz mini

Mon curé chez les chiches

Le sexe à piles

Le gaz de lac

Le dé d’Alger

Vite Alice !

Le choc au la

Les 39 arches

Guère épais

Avec Marlène Dieu triche

La tour de prise

Seul j’ai l’estime

Le nord mendie

Merci pour le serre-vis

La force du festin

Avec Douglas faire banque

La tour de l’ombre

Er Dieu créa l’infâme

L’abée de Tunis

L’alibi en Tripolitaine

Noblesse afflige

Le crépuscule des deux

Le flamant pose

Cinq tonnes au ré

Les trois petits ronchons

Les bateliers de la Valda

L’autel débile

L’éternel détour

La mère qu’on voit danser

Le passé qu’on posait

Adam et rêve

Une petite fleur dans une peau de bâche

Pas l’estime à Gaza

Le saint trop pèse

L’édit de mante

La mère d’Azov

Le char d’Honoré

Elise à bêtes

L’arène d’Angleterre

Franchot tonne

Rose svelte

Les dix comme en déments

L’édit dit

La fausse aux serpents

L’amante religieuse

Le fauve qui peut

Nous sommes tous des fantassins

Le minuscule des Dieux

L’astre à gale

Le thé des homes

Saint Germain des faussés

Le piano aqueux

La fuite de Schubert

La compagnie des dindes

Le thé j’y vais

L’échanson de septembre

Net à miaou

Le maudit amasse

Philippe ce gain

Les élections munies d’ six pâles

Fernand gravé

Deux bus I

Philippe l’amer

Philippe moiré

L’école prisonnière

La route enfantée

L’amer qu’on voit danser

Les jeux au lin piquent

Les vêpres de mon moulin

Dialogue entre deux femmes

-Aimes-tu les crépuscules ?

                    • - Non, je préfère les aubes

                    • Les lettres siciliennes

                    • Cueilli sur Seine

                    • L’abbé Gonia aime les fleurs

                    • La bande a bonne eau

                    • Le ciel esr par dessus les trois

                    • Lrs trois voraces

                    • Ombrage ô désespoir

                    • Rodrigue as-tu du beurre ?

Vents et marais

La cordillère des bandes

Un bandit de grands chauvins

L’arlesbienne de Bizet

Le rat d’eau de la Merduse

Six vers sales m’étaient contés

Mon père avait saison

La raison du plus porc est toujours la meilleure

J’aime le son du corps le soir au fond de toi

La compagne de Russie

Le premier de corvée

Contre vent démarré

Il va tiquant

La mort aux rousses

L’enceinte vierge

La fin et la soif

Au-delà des mères

Nos irons tous au pas raidis

Il pleut dans mon chanvre

Qu’est-ce qu’on attend pour être peureux ?

Tousse France

La course ou la vie

Publié dans : Poésie | le 26 août, 2024 |Pas de Commentaires »

Depuis hier

 
Amis, depuis hier
J’ai mordu la poussière
Après de longs faux-pas
Ne m’en remettrai pas
 
Hélas ! J’ai tout perdu
Ne reste pas grand chose
Rien ne sera rendu
C’est comme une psychose
 
J’ai tout abandonné
Dans cette vie amère
Ce que Dieu m’a donné
Pas autant que ma mère
 
N’écris plus de poème
Ma plume s’est rouillée
Toute chose que j’aime
Ainsi s’en est allée
 
Si je songe à l’amour
Je tombe dans un creux
Mon cœur devenu lourd
Je suis loin des heureux
 
L’existence, un mystère
Je n’y vois plus grand chose
Alors s’il faut se taire
Le silence s’impose
 
Mais le chemin est creux
Sur mon pas insolite
Je voudrais être un preux
Si le sort m’y invite
 
Pour ne voir que des fleurs
Des blés d’or dans les champs
Un bonheur qui m’effleure
Quand ma vie est un chant
Publié dans : Poésie | le 25 août, 2024 |Pas de Commentaires »

Laurette

Je me souviens de toi, Laurette jeune et blonde
Ton sourire charmant, tes yeux étincelants
Nous voulions à nous deux refaire notre monde
Quel crime ai-je commis un jour en m’en allant !
 
Que de beaux souvenirs émaillent ma mémoire
En la ville d’Alès où nous étions heureux
Bouleversé ce soir je revis notre histoire
Nos baisers innocents, nos élans chaleureux
 
Nos dimanches joyeux, nos longues promenades
Où la main dans la main nous rêvions d’avenir
Ces explosions de joie au cours de ces balades
Images d’autrefois pouvez-vous revenir ?
 
Souviens-toi des oiseaux demandant nos miettes
Le soleil du printemps égrainant sa chanson
Les projets fabuleux fourmillant dans nos têtes
Et nos rires d’enfant qui faisaient sensation
 
Je revois ton visage illuminé de joie
Ces soixante-quinze ans, déjà t’en souviens-tu ?
Tes gestes amusés, musique de ta voix
Ce beau songe d’amour respectant ta vertu
 
La rivière du Gard renvoyait sa lumière
Un sublime rayon qui filtrait dans nos cœurs
Comme si par miracle il s’agissait d’hier
Nous pensions que c’ était le signe du bonheur
 
Laurette dis-le moi , est-ce vraiment un rêve
Croyons-nous aujourd’hui à ces heureux moments ?
Si l’imagination nous accorde une trêve
Revivons à nouveau ce merveilleux roman

 

 

Publié dans : Poésie | le 25 août, 2024 |Pas de Commentaires »

Où sont les jeunes belles

 
Où sont les jeunes filles
Que jadis j’appelais
Cette jeunesse qui brille
Qu’en ce temps je voulais
 
Où sont ces belles folles
Voulant me posséder
S’offrir comme une obole
A deux, nous évader
 
Où sont ces inconnues
Que je ne connais pas
Les voudrais toutes nues
Appréciant leurs appâts
 
Où sont ces jeunes vierges
Toutes bonnes encore
Un beau jour les aurais-je
Dans leur âme et leur corps ?
 
Où sont ces innocentes
Que j’ai perdues de vue
Pourquoi sont-elles absentes
Je suis de la revue
 
Où sont ces écolières
Toujours en courts jupons
Aujourd’hui comme hier
Mais nulle ne répond
 
Où sont ces créatures
Disparues de ma vie
Et par quelle aventure
Le temps les a ravies ?
 
 
 
Où sont ces douces belles
Ces délicieuses fleurs
Qui dira où sont-elles
Et quand viendra cette heure ?
 
Où sont ces jeunes cœurs
Symbolisant l’amour
Qui faisaient mon bonheur
Plus souvent qu’à leur tour
 
Où sont toutes ces femmes
Objets de mon désir
Sont-elles dans mon âme
Quand vont-elles en partir ?
 
Publié dans : Poésie | le 21 août, 2024 |Pas de Commentaires »

Depuis hier

 
Amis, depuis hier
J’ai mordu la poussière
Après de longs faux-pas
Ne m’en remettrai pas
 
Hélas ! J’ai tout perdu
Ne reste pas grand chose
Rien ne sera rendu
C’est comme une psychose
 
J’ai tout abandonné
Dans cette vie amère
Ce que Dieu m’a donné
Pas autant que ma mère
 
N’écris plus de poème
Ma plume s’est rouillée
Toute chose que j’aime
Ainsi s’en est allée
 
Si je songe à l’amour
Je tombe dans un creux
Mon cœur devenu lourd
Je suis loin des heureux
 
L’existence, un mystère
Je n’y vois plus grand chose
Alors s’il faut se taire
C’est comme une psychose
 
Mais le chemin est creux
Sur mon pas insolite
Je voudrais être un preux
Si le sort m’y invite
 
Je ne vois que des fleurs
Des blés d’or dans les champs
Un bonheur qui m’effleure
Car ma vie est un chant
 
Publié dans : Poésie | le 21 août, 2024 |Pas de Commentaires »

La vérité

Que fait la vérité
Tout au fond de ma poche
L’y a -t- on invitée
Sinon c’est assez moche 
 
Elle est chez les enfants
Et dans leur innocence
Car si je m’en défends
Serait une indécence
 
Et qu’a -t- elle choisi
Nul ne le sait encore
Le terrain est moisi
Mensonges à pléthore
 
Puis arrive sa grâce
En tentant les athées
Et laissant douce trace
Après avoir été
 
On l’a parfois revue
Sans s’en apercevoir
Qu’est(elle devenue
Où peut-on l’entrevoir ?
 
En fait, elle est absente
On la cherche part(out
Une quête innocente
L’avoir est un atout
Publié dans : Poésie | le 21 août, 2024 |Pas de Commentaires »

Je suis un vieux machin

Je suis un vieux machin

Encor dans ma jeunesse

Car j’en ai fait le plein

Pour garder mon ivresse

 

Je suis un vieux machin

Qui peut vibrer encor

J’attends chaque matin

Pour changer de décor

 

Je suis un vieux machin

Qui peut vous étonner

Et prends tous les chemins

Pour toujours tout donner

 

Je suis un vieux machin

Qui cherche une autre vie

Se débinant sans fin

Et sans changer d’avis

 

Je suis un vieux machin

Qui veut sentir et voir

On me le cache en vain

Mais je veux tout savoir :

 

Je suis un vieux machin

Brûlant son existence

Le bonheur en son sein

Supprimant les distances

 

Je suis un vieux machin

Qui cherche l’impossible

Aujourd’hui ou demain

Et quelque soit la cible

Je suis un vieux machin

Qui rêve sans arrêt

En voulant tout ou rien

Cependant toujours prêt

 

Je suis un vieux machin

Qui souvent sait attendre

Et faire le malin

En prenant un air tendre

 

Je suis un vieux machin

Qui croit en l’avenir

Malgré l’âge certain

La mort ne veut venir

 

Je suis un vieux machin

Qui vécut beaucoup trop

Pour survivre veux bien

M’y engager au trot ,

 

Je suis un vieux machin

Qui peut vous étonner

Ne faisant que du bien

Jamais abandonner

 

Je suis un vieux machin

Qui dit oui, qui dit non

Sans attendre à demain

Trouve la solution

 

Je suis un vieux machin

Qui se fout bien du monde

Qui sait le saint des saints

Le plus fou à la ronde

 

Je suis un vieux machin

Faisant tant de jaloux

Mais je m’en fiche bien

Alors qu’en pensez-vous ?

 

Je suis un vieux machin

Qui ne veut en démordre

Regardez donc plus loin

C’est compris ? C’est un ordre !

 

Je suis un vieux machin

Allant sans coup férir

Ou ce soir ou demain

Je ne veux pas mourir

 

Je suis un vieux machin

Marchant avec une canne

Se levant le matin

Croit que tout le condamne

 

Je suis un vieux machin

Triste et gai tour à tour

Son slogan on sait bien :

Pouvoir mourir d’amour

 

 

 
 
 
 
 
 
 
!
 
 
 
 
 
 
 
 
Je suis un vieux machin
Encor dans ma jeunesse
Car j’en ai fait le plein
Pour garder mon ivresse
 
Je suis un vieux machin
Qui peut vibrer encor
J’attends chaque matin
Pour changer de décor
 
Je suis un vieux machin
Qui peut vous étonner
Et prends tous les chemins
Pour toujours tout donner
 
Je suis un vieux machin
Qui cherche une autre vie
Se débinant sans fin
Et sans changer d’avis
 
Je suis un vieux machin
Qui veut sentir et voir
On me le cache en vain
Mais je veux tout savoir :
 
Je suis un vieux machin
Brûlant son existence
Le bonheur en son sein
Supprimant les distances
 
Je suis un vieux machin
Qui cherche l’impossible
Aujourd’hui ou demain
Et quelque soit la cible
 
 
Je suis un vieux machin
Qui rêve sans arrêt
En voulant tout ou rien
Cependant toujours prêt
 
Je suis un vieux machin
Qui souvent sait attendre
Et faire le malin
En prenant un air tendre
 
Je suis un vieux machin
Qui croit en l’avenir
Malgré l’âge certain
La mort ne veut venir
 
Je suis un vieux machin
Qui vécut beaucoup trop
Pour survivre veux bien
M’y engager au trot ,
 
Je suis un vieux machin
Qui peut vous étonner
Ne faisant que du bien
Jamais abandonner
 
Je suis un vieux machin
Qui dit ou, qui dit non
Sans attendre à demain
Trouve la solution
 
 
Je suis un vieux machin
Qui se fout bien du monde
Qui sait le saint des saints
Le plus fou à la ronde
 
Je suis un vieux machin
Faisant tant de jaloux
Mais je m’en fiche bien
Alors qu’en pensez-vous ?
 
Je suis un vieux machin
Qui ne veut en démordre
Regardez donc plus loin
C’est compris ? C’est un ordre !
 
Je suis un vieux machin
Allant sans coup férir
Ou ce soir ou demain
Je ne veux pas mourir
 
Je suis un vieux machin
Marchant avec une canne
Se levant le matin
Croit que tout le condamne
 
Je suis un vieux machin
Triste et gai tour à tour
Son slogan on sait bien :
Pouvoir mourir d’amour

 

 

 

!

 

Publié dans : Poésie | le 21 août, 2024 |Pas de Commentaires »

Dis-moi encore

 
Dis-moi ce que tu caches
Et tu ne seras plus la même
Dis-moi ce que tu es
Et je ne te reconnaîtrai plus
 
Dis-moi ta vérité
Et ne te croirai pas
Dis-moi ce que tu aimes
Et ne t’aimerai plus
 
Dis-moi l’impossible
Et je te reconnaîtrai
Dis-moi où tu veux aller
Et ne te suivrai pas
 
Dis-moi ce que tu préfères
Et ne comprendrai pas
Dis-moi le fond de ta pensée
Et ne penserai plus à toi
 
Dis-moi que je bafouille
Et tu aurais raison
Dis-moi que tu cherches un autre
Et je serai celui-là
 
Dis-moi que plus rien ne t’intéresse
Et je te croirai
Dis-moi que ton âme est vide
Et je t’aimerai
En y pénétrant

 

Publié dans : Poésie | le 14 août, 2024 |Pas de Commentaires »

Lire et voir

 
L’affaire domine ici
Le caprice des gueux
Cent familles
Danse avec les clous
Jacques Uze
Pour elle au soleil
Sparte à puces
Madame sans gènes
La fille du puits dattier
Grise
Les 5 francs de Lavarède
Don commis haut
Frime et châtiments
Le repos du férié
Le silence des anneaux
Quai des rhumes
Douze hommes en fourrière
Le voyage sans cesse foire
Physique instinct
Les dix condiments
La belle et l’emplette
Ces arts
Un songe en hiver
La molle parade
Mobile tic
Dansons sous l’api
La ronde des heurts
La route de mardi sonne
Port rature
Les trois pans sciés du Bengale
Rat monte chaud
L’aube scorie
Le troisième home
La belle de l’os coud
La case de l’oncle atome
La femme et le pan teint
La belle et l’alphabête
Le diable aux cors
Adieu aux charmes
Le gai part
Tant qu’il y aura des homes
L’amarre à Bounta
Fantôme masse
Notre drame de maris
A l’ouest rien de nous vaut
L’épée de la dame au clebs
La bottée du diable
Le retour du terrier
Ma brute s’en va t’en guerre
Ls chevaliers de la table grondent
Le songe d’une nuit des taies
Paître ou ne pas paître
Roméo et cueillette
Lady d’amis tonne
Marguerite Pottier
La bergère apprivoisée
La mère des boutons
La belle aux terreaux
Mata a ri
La paix rigole
La guerre de trois
Les derniers jours de mon pays
Les rateliers de la Volga
La dame aux camées, lia
Pour qui tonne le gars
La symphonie passe au râle
Les perles de la baronne
Lac aux drames
Marque au polo
Le flou chantant
Le champ du mâle d’Aurore
La divine comme Eddy
L’enfer c’est les hôtes
l’aimenr chouParle avec ailes
Les enfants du bar à dix
La sorcière de sa crème
Le récif de nos rails
Le soleil de mie, nuit
Certains l’aiment chou
Les souris scièrent
Pente à truelle
Publié dans : Poésie | le 13 août, 2024 |Pas de Commentaires »

Plume au vent

Alerte mes amis, viens de perdre ma plume
Dans ce nouveau désert, aucune inspiration
Alors que je végète entre marteau enclume
Hélas!ne trouve rien, c’est la consternation !
  
En cherchant un sujet, non, aucune réponse
Où sont donc les regards des femmes aux doux yeux
Privé de cette joie, il faut que je renonce
Que reste-t-il alors de mon rêve amoureux ?
  
En l’absence d ‘amour que devient l’existence
Où s’en vont les baisers qui ne s’enflamment plus
Ces bras ensorcelés et ce corps qui s’élance
Le désir qui s’éteint devenant superflu ?
 
 Plus aucun souvenir, ce n’est plus que nuage
Ne découvrant plus rien tout espoir est perdu
Il me faut renoncer à ce tendre voyage
Tout le plaisir d’antan ne sera point rendu
  
Mais soudain ô surprise ! un ange m’interpelle :
Une nymphe aussitôt veut me tendre la main
« Viens me prendre à présent car je suis la plus belle
Oui, je suis ton bonheur n’attends pas à demain … »
Publié dans : Poésie | le 12 août, 2024 |Pas de Commentaires »

Seul sans toi

Comme je me sens seul sans toi
Sans tes bras, sans tes baisers
Sans la douceur de ton regard
Sans l’écho de ta voix délicate
 
Comme je me sens seul sans toi
Solitaire de la Thébaïde
Dans le vide de mon désert
Où je cherche ton âme
 
Comme je me sens seul sans toi
Sans le souffle de ta présence
Sans caresser doucement ta main
Et sans boire ton sourire
 
Comme je me sens seul sans toi
Dans mon infinie tristesse
Où plus rien ne peut vivre
Là où tu n’existes pas
 
Comme je me sens seul sans toi
Dans cette immense obscurité
Où plus rien ne peut m’attacher
Où vainement je cherche ta lumière
 
Comme je me sens seul sans toi
Où je n’entends plus rien
Où j’évoque ton visage d’amour
Tel une sainte image
 
Comme je me se sens seul sans toi
Plus de chansons, plus de musique
Un silence qui me terrasse
Dans cette longue solitude
 
Comme je me sens seul sans toi
Où es-tu, que fais-tu ?
Dis-moi que tu vas revenir
Pour que je ressuscite
Publié dans : Poésie | le 9 août, 2024 |Pas de Commentaires »

La Batelière de toujours

Claudine et Renato
 
Thérèse
Michèle Manet
Serge Bastille
Y.P.Boisset
Alberte
Slobodan
Baldelli
Ginevra
Charlotte
Mireille
Amaga
Velprix
Riffat
Tranchant
Nelly
Cathy
Nicole.L
Aude
Elisabeth
Mikeno
Liz a
JC Marsat
Bohême
Françoise
Nicole.D
Tarantik
Khaldjà
Lagalite
  
Anne-Marie
Yochie
Pizzera
A.Gens
Heurtebise
Cerisette
 
M.Spenser
J.C Manceau
S.Dinerstein
Adrien
 
Et les autres
Publié dans : Poésie | le 9 août, 2024 |Pas de Commentaires »

Noel de mineur (1947)

 Noël, je suis au fond,
Voilà mon réveillon
C’est la liesse partout
Et je suis dans ce trou.
 
 Noël, copieux repas
Que je ne verrai pas,
Voilà l’immense table
Pensée insupportable!
 
Noël, c’est la joie, les jeux,
Jésus descend des cieux
Je vois le fils de Dieu
Et je ferme les yeux.
  
Noël, fais attention
Ca s’éboule en tronçons
Non, n’y penses pas trop
Ou tu laisses ta peau!
  
Noël les plaisirs fous,
Là j’entends tout à coup
Eclater un grand rire,
Le cœur noir, je soupire…
  
Noël c’est le premier
Où je ne puis prier,
Sombre nativité
Que je n’ai pas fêtée.
 
  Noël, le bal, la fête,
Là, ma pensée s’arrête,
La musique et la danse,
Et…cet abime immense.
 
 Noël et ses cadeaux
Ici j’en ai de beaux!
Ils me sont tous offerts,
On me gâte, on me sert!
 
 Noël et je travaille
Sans rien dans les entrailles
La fatigue et l’effort
Et l’on frôle la mort!
 
 Noël prends ce piqueur
Et creuse avec ardeur
Ne penses trop, allons!
Du charbon, du charbon…
 
 Noël là dans ma tête
Les flonflons de la fête
Non, arrache la veine
Et tue-toi à la peine!
 
 Noël pour moi l’oubli
Dans cet antre avili
Personne ne m’appelle
Je reprends cette pelle!
 
  Noël, cela existe ?
Mais le jais me résiste
J’entends des chants lointains
Et mes regrets sont vains.
 
Noël on m’abandonne
La cloche qui bourdonne
Ce boulot qui m’éreinte
Ma lampe s’est éteinte.
 
 Noël, l’obscurité
Adieu sécurité
Mais l’ange me protège
Immobile, que fais-je ?
 
 Noël un soir allègre
Une tâche de nègre,
L’eau, la boue, la sueur
Un épuisant labeur.
 
 Noël l’heure qui passe
La remontée harasse
Et pour comble la pluie
M’attend à la sortie.
 
Noël, Jésus qui pleure
Comme à ma dernière heure
Minuit n’a pas sonné
Mais j’ai tout pardonné.
 
 Noël dans ma baraque
Qu’ai-je donc dans mon sac ?
Juste un morceau de pain…
Des pleurs jusqu’à demain.
Publié dans : Poésie | le 8 août, 2024 |Pas de Commentaires »

In love 51

Cependant ce jour-là une chance s’en mêle
Mais j’aimais trop la vie et sans mettre un holà
Par le titre d’un film : Seul un ange a des ailes
D’Howard Hawks grand merci, grâce à lui je suis là
 
Est-ce présomptueux ma sublime déesse
De t ’avouer ici que je veux me donner
De la force à l’esprit, même de la hardiesse
Sans vouloir aussitôt le reste abandonner ?
 
Le contraire pour moi sera donc cette errance
Contre la dispersion qui va s’inscrire au cœur
De toute création et de toute existence
Véritable ombilic objet de son ampleur.
 
Point central nous dit-on, marqué dès la naissance
Images à l’aspect très clair et souverain
Je sais ô mon amour que tu restes ma chance
Je sais tous les non-sens dont notre monde est plein
 
Je connais quelque clé qui ouvre chaque porte
De notre vie, et puis, permettant d’échapper
A cette destruction que l’existence apporte
Unique vérité, nul ne peut s’y tromper !
 
Plutôt que de jouer avec les mots faciles
Les mots inopportuns, les mots uniquement
Je les pare aussitôt de cent voiles subtiles
La signification utile à ce moment
 
Ces mots sont mes amis comme une complétude
M’évitant quelquefois de sombrer dans l’erreur
Ne m’ont-ils pas sauvé de toute solitude
De la profonde angoisse et souvent de la peur ?
 
Grâce à eux, je le sais les secrets nous dévoilent
Un univers psychique en exprimant parfois
Les trais de volupté qui nous forcent et s’installent
Sur nos lèvres d’amour ayant trouvé leur voie_
 
Qu’on ne croit surtout pas que j ‘aie une conscience
Une conscience qui soit très torturée ou non
Mais non, tout simplement étant dans l’existence
Un peu de poésie entré dans la maison
 
Je revendiquerai jusqu’à l’heure dernière
En moi sa vérité et son identité
Regardant à présent cette splenfeur première
Du golfe à Saint-Tropez, je savoure et me tais
 
Mon esprit met alors de côté l’inquiétude
Et se plonge avec toi dans un réel profond
Un réel m’éloignant de toute solitude
Sans toi tu le sais bien, je sombre et me morfonds
 
Je laisse la mort aux autres
Voici les premiers mots ici que je prononce
Toujours chaque matin illustrant notre amour
Pour moi c’est aujourd’hui comme une sombre annonce
Une annonce de fait, me disant à son tour
 
Que l’ami Tourgueniev d’une empreinte majeure
Au style réaliste, un style passionnant
C’est certain a pour moi l’écriture meilleure
Dans son « Premier amour » il est impressionnant
 
Dans ma conscience en fait, Ah!comme le temps passe
A la guerre, on le sait, va succéder la paix
Epargne-t-on le sang, de volonté tenace
Sur la terre en entier, tout conflit dissipé ?
Publié dans : Poésie | le 7 août, 2024 |Pas de Commentaires »

J’ai encore

 

Je suis encor vivant quelle bonne surprise
En secret dans mes vœux n’en demandais pas tant
Aujourd’hui cependant ma décision est prise
Car je demeurerai ici le plus longtemps !
 
J’ai encore à aimer, j’ai encore à écrire
Ma plume veut aller loin, de plus en plus loin
Les sujets, n’en sais rien, impossible à décrire
Et dans ce cas bien sûr, vieillir de moins en moins
 
Me direz-vous, le cœur voudra-t-il autre chose ?
Même si dans le le temps n’attend rien en retour
L’essentiel est pour lui d’aller humer la rose
Est prêt à tout donner dans son trop-plein d’amour
 
Ainsi de jour en jour adieu notre tristesse
Malgré notre apparence on veut jouer le jeu
On va les yeux fermés vers une autre jeunesse
Aller toujours plus haut demeure notre enjeu
 
Attention les amis, qui sait un jour peut-être
A force de courir vers un but irréel
Tous mes projets joyeux iront par la fenêtre
Qu’importe cependant s’il plaît ainsi au ciel
Publié dans : Poésie | le 4 août, 2024 |Pas de Commentaires »
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